« Nous fûmes un nuage d’oiseaux dans le ciel de la résistance. »
RÉSISTER vient s’inscrire dans une révolte nerveuse et passionnée. Le genre et la forme sont revisités dans un bal où l’exclu est permis. L’union du groupe devient fondamentale. Un élan de respiration, dans des corps fluides et une énergie en fraction. Une danse en l’honneur des indomptés. Les corps s’écoutent, s’épousent, éclatent dans une spirale sensible où l’amour s’annonce incontournable. Cette création interroge les différents visages et états de la résistance, dans sa dimension humaine, quantique et métaphysique. Comme on résiste à la haine grâce à l’amour, une planète résiste à la force gravitationnelle de son étoile pour ne pas mourir. Voilà l’idée candide et insolente de femmes et d’hommes à la poursuite de leur liberté. Il serait vain de résumer en une heure les résistances qui façonnent le monde, il s’agit plutôt d’inviter les spectateurs à les traverser. L’immersion dans une tension générée par des corps engagés, entre contractions et expansions, peut aussi les conduire à s’interroger sur leur propre capacité à résister.
Durée : 1 heure
La pièce existe désormais également dans un format duo de 30 mn.
Distribution
Direction artistique – Chorégraphe : Tarek Aït Meddour Interprètes : Cindy Emelie, Rachel Lebègue, Lauren Lecrique, Aurore Mettray, Els Smekens, Adrien Mornet, Tarek Aït Meddour Direction musicale : Jasser Haj Youssef Création lumières : Philippe Catalano Collaboration artistique : Sébastien Amblard Création costumes : Audiane Cojean Production : Compagnie Colégram
Cette création, initialement pensée en 2014 pour un format court avec 16 danseurs, a été filmée en slow motion par le photographe et réalisateur Philippe Monpontet. Cette vidéo, intitulée En dansant sur la terrasse, a rencontré un formidable succès public, sur les réseaux sociaux avec plus de 2 millions de vues :
"Par la diversité de ses influences et des musiques, Tarek Aït Meddour façonne un univers très personnel, une chorégraphie où il n'hésite pas à figer ses danseurs, à contracter les corps avant de les libérer et relâcher la tension qu'il avait générée dans un public finalement enthousiaste. On a très envie de le voir et de le suivre sur le chemin sur lequel il s'est engagé."
Le Journal du Centre
29 octobre 2019
Soutiens et Résidences
Caisse des Dépôts, AFAC, Cynthia et Christophe Jouffre, Centre Chorégraphique Calabash (Lyon), Théâtre Allegro (Miribel), MJC Lézignan, Théâtre de Nevers
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